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Absurdité de la condition humaine.
7 novembre 2010

♫ Gustavo Santaolalla – De Ushuaia a la Quiaca (pub services TGV SNCF)


Cette 100508151802_64mélodie envoûtante m'emporte, j'ai l'impression de m'envoler.
Je suis vide, infiniment vide. Je rêverais d'une vie plus palpitante, mais je rêve certainement trop. Sans passer des journées lamentables, je ne suis toujours pas satisfaite. Il me manque quelque chose, sans que je ne sache trop quoi. J'ai l'impression de stagner, comme si je n'avais pas d'objectif, pas de réelle motivation.

Une chose est sûre : ce n'est pas en fumant toute la journée ou en enchaînant les orgasmes devant des pornos que cette motivation viendra.

Je dois arrêter de ne jurer que par Vincent, et ainsi me trouver des motivations extérieures. Mais lesquelles... ? Je crois qu'à part mes études, (et encore, ces temps-ci, ce n'était pas trop le cas...) la musique, l'Art, plaire... je ne trouve rien d'autre.

Je suis lasse de tout ça, lasse de ne toujours pas trouver de sens à ma vie.
J'ai même pas envie de parler, je suis sûrement trop amorphe en ce moment pour en éprouver l'envie.

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RE, 14H17 : je crois que "Play Crack the sky" de Brand New, est la chanson la plus adéquate pour expliquer ce que je ressens en ce moment. Une mélancolie profonde. Tout le monde m'énerve, m'irrite. Mon père est une tête à claque, j'ai envie de l'engueuler à chaque fois qu'il ouvre sa bouche, il comprend rien quand on lui explique quelque chose et ma patience a des limites. (surtout, je ne dois jamais devenir prof...) Ne parlons pas de ma mère, avec ses préjugés de merde, encore. De même pour C, pour J, pour tous à vrai dire, je suis saoulée. J'ai encore envie de fumer seule, à l'écart de tous et de passer ma journée à jouer des morceaux de guitare déprimants. Surtout que ce temps pluvieux ne participe pas à me rendre plus optimiste... Alors, je suis là, sur mon lit, à réfléchir à ma vie, à repenser à tout ce que m'a dit mon prof de philo, sous un large nuage de fumée. Bonjour, je suis associable, et j'ai envie d'envoyer tout le monde bouler et se faire foutre.

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